Entre héritage et fierté nationale, les maillots du Portugal sont le reflet d’une histoire unique...
L’équipe nationale du Portugal occupe une place unique dans le football mondial. Ses maillots de couleurs rouges et vertes, inspirées du drapeau national, traduisent à la fois la passion, l’énergie et l’espoir d’un peuple qui vit au rythme du ballon rond. Le maillot portugais est est un symbole d’identité et de fierté nationale. ⚽
Chaque génération de supporters associe un maillot du Portugal à des souvenirs précis. Le maillot de l’Euro 2004, porté par Figo et Cristiano Ronaldo lors de la finale à Lisbonne, malheureusement perdue contre la Grèce. Ou celui de l’Euro 2016, marqué par la victoire historique contre la France et par le rôle héroïque de joueurs comme Eder ou Rui Patrício. Plus récemment, les maillots du Portugal ont accompagné la nouvelle vague incarnée par Bernardo Silva, Bruno Fernandes et João Félix.
Les couleurs emblématiques des maillots du Portugal restent le rouge intense et le vert, parfois accompagnés de touches d’or ou de blanc. Toujours dans la sobriété, les maillots du Portugal se sont toujours contentés de petits détails (col contrasté, motifs fins, écusson brodé...). Associé à l'équipementier Nike depuis 1997, c'est depuis 2025 que Puma a succédé à la production des maillots portugais.
Posséder un maillot vintage du Portugal, c’est revendiquer son attachement à une sélection qui a formé des légendes comme Eusébio, Figo ou Cristiano Ronaldo. Les maillots rétro du Portugal reflètent cette histoire transgénérationnelle. ❤️💚
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Acheter un maillot vintage peut être risqué, entre contrefaçons et vices cachés. Nos garanties sont là pour vous rassurer.
"L'affaire Saltillo" : la grève du Portugal lors de la Coupe du Monde 1986
Après deux décennies d’absence, le Portugal retrouve enfin la Coupe du Monde. Mais à Saltillo, ville choisie comme camp de base au Mexique, les prémices d’un fiasco apparaissent : organisation chaotique, escales inutiles, matches amicaux annulés, entraînements sur un terrain en pente et blessures clés comme celle du gardien Bento.
Rapidement, un climat de défiance s’installe. Un membre de la délégation disparaît avec l’argent des joueurs, tandis qu’un sponsor révèle l’existence de primes jamais versées. Les joueurs portugais découvrent que la Fédération les a trompés. En réaction, certains refusent de porter le maillot officiel du Portugal, menacent de faire grève et s’entraînent sans maillot pour protester. Ce climat délétère se répercute sur le terrain : après une victoire contre l’Angleterre, le Portugal s’incline face à la Pologne puis s’effondre contre le Maroc, quittant la compétition dès le premier tour.
De retour à Lisbonne, l’équipe portugaise est accueillie par des insultes et des jets de tomates à cause de la propagande installée dans le pays. La Fédération, pour sauver la face, suspend huit frondeurs, ce qui achève de briser cette génération prometteuse. Le Portugal manquera ainsi la Coupe du Monde 1990 et n’effacera ce traumatisme que grâce à l’émergence, dans les années de la nouvelle génération menée par Rui Costa. Saltillo restera, dans la mémoire collective portugaise, comme un fiasco organisationnel et humain, comparable au "Knysna" français de 2010.