Les maillots vintage du Milan AC incarnent l’histoire des Rossoneri, entre design iconique rouge et noir.
Parler des maillots vintage du Milan AC, c’est plonger dans l’histoire d’un club mythique qui a marqué le football italien et mondial. Fondé en 1899, l’Associazione Calcio Milan a très tôt imposé son identité grâce aux couleurs iconiques de ses maillots : le rouge et le noir. Ces bandes verticales, surnommées les "Rossoneri", symbolisent la passion et la détermination, des valeurs qui traversent toutes les époques du club.
Les maillots rétros du Milan AC sont immédiatement reconnaissables : rayures rouges et noires, parfois plus larges selon les époques, sponsor mythique en blanc, et l’écusson frappé de la croix de Saint-Georges ou du célèbre "Diavolo". Chaque variation de maillot de l'AC Milan raconte une partie de l’histoire du club, que ce soit la période Sacchi avec Van Basten et Gullit, ou encore les années 2000 marquées par Maldini, Pirlo ou Shevchenko.
Certains maillots vintage de l'AC Milan sont devenus légendaires : le maillot Opel des années 90, associé aux succès européens ; le maillot Adidas du début des années 2000, porté lors des conquêtes continentales ; ou encore les maillots du centenaire en 1999. Ces pièces recherchées par les collectionneurs rappellent l’époque où San Siro vibrait aux exploits de Baresi, Kaka ou Inzaghi.
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Acheter un maillot vintage peut être risqué, entre contrefaçons et vices cachés. Nos garanties sont là pour vous rassurer.
De l’enfer d’Istanbul au paradis d’Athènes, la 7ᵉ étoile du Milan AC
À Athènes, l’AC Milan retrouvait Liverpool en finale de Ligue des Champions. Deux ans plus tôt, à Istanbul, les Rossoneri avaient vécu l’un des pires cauchemars de leur histoire : une finale perdue aux tirs au but après avoir mené 3-0. Cette nuit-là en Grèce, il n’était pas question de revivre le même enfer.
Le match est serré, fermé même. À la 45ᵉ minute, un coup franc de Pirlo dévié par Inzaghi trompe Reina. Milan mène 1-0. Dans un match marqué par l’expérience et le contrôle, les hommes d’Ancelotti ne paniquent jamais. En seconde période, Seedorf et Kaká dictent le tempo. À la 82ᵉ minute, Kaká lance Inzaghi en profondeur : le buteur italien contourne le gardien et inscrit le deuxième but. C’est l’explosion. Liverpool réduira l’écart par Kuyt à la 89ᵉ, mais trop tard.
Milan tient sa revanche. Inzaghi est le héros, Kaká le chef d’orchestre, Maldini le capitaine de marbre. Le club remporte sa 7ᵉ Ligue des Champions, un triomphe au goût de vengeance et un baume sur la blessure d’Istanbul. Cette nuit-là, l’AC Milan efface un vieux fantôme.
